Une invite de la présidente de la haute juridiction, Marie-Madeleine Mborantsuo, afin qu'on ne se "défausse plus, comme par le passé, sur l'institution".

Les cadres de "Conscience et action citoyenne" ont participé le week-end dernier à un séminaire de formation, dont le but est de permettre à ces dirigeants de s’approprier les rudiments et les armes qui devraient leur permettre de savoir présenter le parti, a fait savoir le président de cette formation politique, Florentin Moussavou.

La présidente de la chambre haute du parlement gabonais, Lucie Milebou Aubusson Mboussou, a pris part à la cérémonie inaugurale de cette institution ivoirienne, le 12 avril dernier, à Yamoussoukro capitale administrative et politique de la Côte d'Ivoire. En présence entre autres du chef de l'Etat ivoirien Alassane Dramane Ouattara.

Longtemps sollicité par sa base pour être "son candidat" au prochain scrutin législatif, ce membre du Bureau politique du Parti démocratique gabonais (PDG) a finalement accepté de se lancer dans la bataille. Il a toutefois précisé que le dernier mot revient au "Distingué camarade président", Ali Bongo Ondimba.

Désormais, c'est la guerre entre les héritiers politiques du défunt Omar Bongo Ondimba.

Placée sous le thème "Identités, valeurs et construction de la nation", la manifestation sera rehaussée par la présence du président de la République.

Le président de l'Alliance pour le changement et le renouveau (ACR) affirme, tout de même, que son alliance ''objective'' avec le président de la République reste ''intacte'', bien que ne faisant plus partie du gouvernement.

Il présente un résultat positif, excédentaire de 1 172 636 697 francs.

Le chef de l'Etat séjourne depuis samedi dernier à Charm-El-Cheikh, en Egypte, où il participe, depuis hier, aux côtés de son homologue égyptien Abdel Fattah Al-Sissi, au Forum mondial de la Jeunesse.

Telle une profession de foi, le secrétaire général du Parti démocratique gabonais (PDG), Éric Dodo Bouguendza, a laissé entendre que ces assisses déboucheront sur une dynamisation du parti au pouvoir insufflée par " une nouvelle vitalité, énergie et vigueur".

Les responsables du Centre des libéraux réformateurs (CLR) se sont réunis mercredi dernier, à leur siège, au cabaret des artistes, dans le 5e arrondissement de la commune de Libreville. Occasion pour eux de célébrer l’inauguration de leur siège totalement rénové.