Le coronavirus encore appelé Covid-19 suscite désormais les réactions de la classe politique dont celle du Rassemblement pour la patrie et la modernité (RPM). Du côté du RPM, l'heure est donc à la sensibilisation inhérente aux mesures préventives et de risposte contre cette pandémie. Le patron du RPM invite de ce fait la population à "adopter des comportements responsables et faire preuve de civisme".

Élu député au 2e arrondissement de la commune de Koula-Moutou au premier tour des législatives avec 51,51% des suffrages exprimés, Jean Massima est allé remercier, samedi dernier, ses électeurs, à l'occasion du "week-end politique" initié par le secrétariat exécutif du Parti démocratique gabonais (PDG).

Le confinement total du Grand Libreville, décrété le 10 avril dernier, suscite des réactions de la classe politique. C'est le cas de l'Union démocratique et républicaine (Udere), un parti de la galaxie présidentielle. D'où la récente sortie de son leader, Victor Missanda.

C'est la réponse donnée il y a quelques jours par le vice-président de ce parti de l'opposition, François Ondo Edou, qui a estimé que les agissements du régulateur des médias sont ''autant de provocation et de violation de son statut de parti politique''.

Au cours du point-presse qu'il a animé, lundi dernier, dans les installations de Michèle-Marine, au quartier Glass, dans le 4e arrondissement de Libreville, le président du Centre des libéraux réformateurs (CLR), Jean-Boniface Assele, s'est désolé de constater ''qu'à chaque fois que le chef de l'Etat, Ali Bongo Ondimba, donne des orientations, il y a des défaillances chez ceux qui sont censés mettre en musique ses décisions''.

Le nouveau gouvernement comprend dix femmes, soit une de moins que le sortant.

Le secrétariat exécutif du Parti démocratique gabonais (PDG) s'insurge contre l'acte de vandalisme et de destruction de son siège d'Oyem dans la province du Woleu-Ntem, par des individus non encore identifiés.

Au terme de l'élection des bureaux des conseils locaux, une grande partie de la gent féminine s'est vu confier la responsabilité de gérer des communes. Cette arrivée de plus en plus nombreuse de femmes à la tête des mairies et des assemblées départementales sur l'ensemble du territoire national est la matérialisation de la vision du président Ali Bongo Ondimba.

Quelle va être la composition du prochain gouvernement ? Telle est la grande interrogation qui taraude actuellement les observateurs et autres analystes du landerneau politique gabonais. Première femme nommée au poste de Premier ministre dans l'histoire du Gabon, Rose-Christiane Ossouka-Raponda va-t-elle briser les codes établis jusqu'ici ? Aura-t-elle le "courage" de sortir des sentiers battus ?

Biendi Maganga Moussavou a-t-il quitté le Parti social démocrate (PSD), la formation politique de son père et dans laquelle il occupe le poste de trésorier ? C'est la question qui taraude l'esprit des observateurs de la scène politique nationale depuis quelques jours.

S'étalant sur une période de trois ans, ce programme s'articule autour de plusieurs axes.

Le chef de la mission diplomatique chinoise dans notre pays a échangé hier avec la Première ministre, Rose Christiane Ossouka Raponda. Le renforcement de l'axe Libreville-Pékin était à l'ordre du jour.