LA 2e édition de la tombola Total Quartz 4x4 lancée par Total Gabon, il y a deux mois, a connu son épilogue avec la remise, jeudi dernier, à son siège social à Libreville, des lots à la dernière vague de gagnants.

Ils ont procédé à la restauration complète de deux salles de classe, à la rénovation de la charpente et à la construction de garde-fous d'un troisième bâtiment, ainsi qu'aux travaux d'aplanissement dans la cour de récréation.

Après avoir reçu une cure de jouvence, le local abritant l'Union des écrivains gabonais à Louis abritera dorénavant un centre culturel, baptisé Raponda-Walker.

Le match qui a opposé l'équipe d'Amazones FC à celle de Tristar a tourné à l'avantage des filles de la deuxième équipe citée. Elle s'est, en effet, imposée largement par 4-0.

Ce samedi 2 février 2019 à partir de 14h00, la salle nationale de boxe sise au boulevard Bessieux, abrite la 3e journée du championnat interclubs de la Ligue de l'Estuaire.

Comme pressenti, l'ancien ministre des Eaux et Forêts a été désigné par le PDG pour briguer la tête du conseil municipal de la deuxième ville du pays. Les instances dudit parti ont ainsi tranché au détriment du maire sortant, Bernard Apérano, et de l'ancien député, Richard Sylong. Toutefois, cette candidature devrait faire face à l'opposition, sous cape, de certains « camarades » qui boudent ce choix.

La rencontre avec la presse nationale et internationale, hier à Libreville en milieu de journée, a été pour le Comité national olympique gabonais (CNOG), la tribune idoine pour surtout présenter la feuille de route élaborée pour l'année 2019.

Le ministre gabonais de l’Économie avait annoncé l'éventualité d'une réflexion pour fermer ou pas l'Institut africain d'informatique. L'une des résolutions phares à retenir : la continuité.

L’Agence gabonaise de normalisation (Aganor), avec l'appui technique de son homologue de l'Institut marocain de normalisation (Imanor), a récemment organisé, à Libreville, une rencontre avec les professionnels de la filière bois et BTP, pour les sensibiliser à la nécessité de certifier leurs produits, en vue de les rendre plus compétitifs sur les marchés internationaux.

Tout porte à le croire, au vu de l'ampleur que prend cette situation dans certaines zones de la capitale.