"Officiers, sous-officiers, agents et assistants en service à la prison centrale, vous reconnaîtrez désormais pour votre chef le commandant Steve Alex Ngowet ici présent, et vous lui obéirez en tout ce qu'il vous commandera pour le bien du service, l'exécution des règlements militaires, l'observation des lois et le succès des armes du Gabon."

ON se rappelle du grand bruit provoqué par l'annonce de la révision des Codes civil et pénal. Ce qui s'annonçait comme une victoire pour les féministes est désormais officiel.

Au programme, des sessions de formation pratique autour de l'infographie, après une initiation préalable à l'informatique à l'actif de l'Ong ''Femme belle à l'intérieur et à l'extérieur''.

L'Université Omar Bongo (UOB) est sur le point de célébrer ses 50 ans de vie.

Dans le cadre de la célébration de la Journée mondiale de lutte contre l'endométriose, l'association EndofiGabon a organisé une rencontre au siège de l'Agence nationale de promotion des investissements (ANPI). Occasion pour les spécialistes de la santé de la femme d'explorer tous les aspects de cette pathologie, à savoir son diagnostic, sa prise en charge et sa situation au niveau du Gabon.

LES enseignants grévistes affiliés à la coalition Syndicat de l'Éducation nationale (Sena)-Convention nationale des syndicats du secteur éducation (Conasysed) campent sur leurs positions.

Le centre de santé de la prison centrale de Libreville a réceptionné hier, dimanche 5 avril 2020, un premier lot du matériel destiné à l'application des mesures barrières contre le Covid-19 dans ce milieu carcéral.

Depuis un certain temps, la société d'exploitation du Transgabonais (Setrag) multiplie des campagnes de sensibilisation à l'endroit des populations habitant les zones desservies par le chemin de fer.

Du lait, du café, du thé, du sucre et, surtout, des packs d'eau. C'est l'essentiel du don de EndoFiGabon, association de lutte contre l'endométriose et l'hypofertilité chez la femme, aux personnels de santé des unités de Covid-19.

C'est le sentiment qui ressort de la visite, par l'ambassadeur du Japon au Gabon, Masaaki Sato, de deux sites de Libreville (l'école pilote du Centre et l'école nationale pour enfants en déficience auditive), où des volontaires japonais seniors dispensent des cours.