Depuis les deux cas confirmés de patients frappés de coronavirus (Covid-19), au Cameroun voisin, les autorités gabonaises en têtes desquelles le président de la République, Ali Bongo Ondimba sont très préoccupées. En atteste la tenue de deux Conseils présidentiels sur cette "pandémie", le dernier datant du week-end écoulé.
Julien Nkoghe Bekale a eu une séance de travail avec Faustin Boukoubi et quelques-uns de ses collègues de l'Assemblée nationale, hier, au siège provisoire de cette institution.
Alors que le Gabon n'a pas encore atteint le pic épidémiologique du coronavirus, la nouvelle pandémie qui ravage la planète, le gouvernement a décidé d'assouplir le confinement du Grand Libreville. Le faisant ainsi passer, dès aujourd'hui, du total au partiel, évidemment dans le strict respect des mesures barrières et de distanciation sociale.
Président de la Commission des Lois, des Affaires administratives et des Droits de l'homme de l'Assemblée nationale, Gabriel Malonga Mouelet a passé récemment un oral au Sénat.
La haute chambre du parlement a adopté en séance plénière aujourd’hui, à la date du 29 juin 2020, le nouveau Code pénal du Gabon. Parmi ses dispositions importantes, cette nouvelle loi abolit notamment la criminalisation des personnes d'identité LGBTQI que le pays avait précédemment et brièvement adoptée.
Tels sont les deux grands points inscrits à l'ordre du jour du 17e sommet ordinaire des chefs d'État et de gouvernement de la Communauté économique des États d'Afrique centrale (CEEAC) qui se tient aujourd'hui par visioconférence. Restrictions dictées par le nouveau coronavirus oblige ! Une rencontre de haut niveau, animée par le numéro un gabonais, Ali Bongo Ondimba, par ailleurs président en exercice de la CEEAC.
Réagissant à la décision de sa suspension pour une durée de trente jours, doublée d'une "traduction en conseil de discipline", Alexandre Désiré Tapoyo, délégué général adjoint 1 chargé de l'implantation et des stratégies électorales au Centre des libéraux réformateurs (CLR), s'est dit étonné et surpris par les agissements de Jean-Boniface Assélé, qu'il considère comme ''un père''.
Tony Ondo Mba n'est plus président du Rassemblement pour la restauration des valeurs (RV). Ainsi en ont décidé, hier, à Libreville, les membres du Bureau exécutif de ce parti politique, membre de la Majorité républicaine et sociale pour l’émergence (MRSE).
Les "Mamboundouistes", courant politique regroupant les militants et cadres de l'Union du peuple gabonais (UPG) qui revendiquent l'héritage de Pierre Mamboundou Mamboundou, ont rendu un vibrant hommage, le 15 octobre dernier, à leur président décédé le 15 octobre 2011 à Libreville.