En 1960, la croissance régulière de Libreville avait amené le gouvernement gabonais à solliciter la SEEG et Electricité de France (EDF) pour rechercher, à proximité de la capitale, un site pouvant abriter l’aménagement d’un complexe hydroélectrique d’une capacité de production adaptée aux besoins d’un pays jeune, à l’aube de son développement industriel et économique.