Devant le contexte actuel marqué par les interpellations de plusieurs personnalités, Julien Nkoghe Bekale a appelé son équipe à un changement radical dans la conduite des affaires de l'État. La consigne a été donnée, hier, lors du premier conseil interministériel tenu trois jours après le remaniement gouvernemental.

Les ministres Estelle Ondo, Carmen Ndaot et Noël Nelson Messone étaient hôtes des sénateurs, hier, au palais Omar-Bongo-Ondimba, siège de la chambre haute du parlement. Chacun d'entre eux y a présenté et défendu le projet de budget de son ministère pour l'exercice 2019.

L'invitation du président Emmanuel Macron a été transmise au numéro un gabonais par le secrétaire d'État français auprès du ministre de l'Europe et des Affaires étrangères, Jean-Baptiste Lemoyne.

Par ailleurs, au cours de la conférence de presse qu'il a animée, hier, à la chambre de commerce de Libreville, il en a profité pour dresser le bilan de sa participation au gouvernement.

Comprenant les représentants des deux parties, celui-ci se penchera sur la mise en œuvre des points d'accord retenus, à l'issue du dialogue politique intensif tenu fin novembre dernier dans la capitale gabonaise.

Comme une lettre à la poste. En tout, ce fort plébiscite était prévisible. Rempilant à la tête de la commune d'Owendo (pour un 3e mandat), Mme Jeanne Mbagou épouse Matsougou du Parti démocratique gabonais (PDG) l'a remporté par un suffrage exprimé de 100% de voix. Sur un collège électoral de 49 votants, une seule voix lui a fait défaut (un bulletin blanc ou nul).

Que retenir du dernier Conseil exécutif du Rassemblement pour la patrie et la modernité (RPM), tenu jeudi dernier sous la présidence du leader de cette formation politique de l'opposition, Alexandre Barro Chambrier ?

Un véritable imbroglio au Centre des libéraux réformateurs (CLR). Une confusion découlant de la dernière sortie acerbe du président du Conseil politique, par ailleurs fondateur du CLR, le général retraité, Jean-Boniface Assélé.

Un communiqué du Ministère de la justice, daté du 9 avril 2020, a annoncé qu'une catégorie de détenus bénéficiera d'une grâce présidentielle. Cette libération spéciale qui concerne plus de 600 prisonniers, est l'une des conséquences à la pandémie du covid-19. Ci-dessous l'intégralité dudit communiqué.

Le président du Mouvement de redressement national (Morena), Thierry Ondo Assoumou, s'est dit inquiet de la ''fragilité de la situation dans laquelle pourraient se retrouver de nombreux fonctionnaires gabonais, à l'issue de la crise sanitaire actuelle ''. C'était au cours d'un point-presse qu'il a animé, récemment, au quartier Sibang, dans le 6e arrondissement de Libreville.

Sous la direction du président de l'Assemblée nationale, Faustin Boukoubi, une réunion du bureau de ladite institution a eu lieu par visioconférence, mardi. Parmi les points abordés, on note le recensement des textes urgents encore en instance, l'organisation de la suite des travaux de l'institution avant la fin de la session ordinaire en cours, etc.