Député du 2e arrondissement du chef-lieu de la province de l'Ogooué-Lolo, il a été inhumé, hier, au cimetière familial, en présence d'une immense foule meurtrie et affligée.
A l'occasion de la Journée des Nations unies, célébrée le 24 octobre de chaque année, le Coordonnateur résident du Système des Nations unies au Gabon, Stephen Jackson, a annoncé, hier, au siège de ladite organisation à Libreville, d'importantes réformes qui devront entrer en vigueur dès l'année prochaine (2019), dans tous les États où l'Onu est représentée. Lesquelles sont issues de l'Assemblée générale de mai dernier.
Une délégation d'élus gabonais, conduite par le président de l'Assemblée nationale, Faustin Boukoubi, a récemment pris part à la réunion du bureau de l'Assemblée parlementaire de la Francophonie (APF). Laquelle s'est tenue dans la capitale sénégalaise.
C'est l'objectif premier que s'est fixé le Centre des libéraux réformateurs (CLR) après avoir reconnu que son déclin est causé par son manque ''d'actions fortes, de mobilisation, d'ambition et d'implantation renouvelée''.
Le coronavirus encore appelé Covid-19 suscite désormais les réactions de la classe politique dont celle du Rassemblement pour la patrie et la modernité (RPM). Du côté du RPM, l'heure est donc à la sensibilisation inhérente aux mesures préventives et de risposte contre cette pandémie. Le patron du RPM invite de ce fait la population à "adopter des comportements responsables et faire preuve de civisme".
Énonçant sa vision que "l'accession au pouvoir ou l'alternance ne peut se faire que dans le cadre d'un processus électoral libre et transparent, soutenu par un peuple confiant en ses institutions", le Parti pour le développement et la solidarité sociale (PDS) condamne "toute tentative de prise de pouvoir par la force, tout coup d'Etat, quelle que soit sa forme, martial, constitutionnel ou social".
En dépit des multiples campagnes de sensibilisation au respect des mesures barrières dans le cadre de la lutte contre le nouveau coronavirus (Covid-19), il y en a qui n'en tiennent pas compte. Surtout de cette distance sociale d'au moins un mètre à observer dans un espace public.
Confrontés à une crise, les pouvoirs publics se doivent de réagir avec célérité et promptitude. C'est sans doute là toute la pertinence du texte porté et défendu, le week-end écoulé, par le ministre d'Etat, ministre de l'Intérieur, Lambert-Noël Matha, devant les deux chambres du Parlement.
Né le 2 avril 1961 à Makokou, dans la province de l'Ogooué-Ivindo, Franck Emmanuel Issoze Ngondet vient d'être arraché à l'affection de sa famille biologique et politique. Titulaire d'une maîtrise en Droit public et Science politique, le disparu a passé l'essentiel de sa carrière au ministère des Affaires étrangères avant d'occuper plusieurs fonctions ministérielles dont celle de Premier ministre.