Quelle attitude adopter pour ne pas subir les représailles de la part de son bourreau ? Que faire pour ne plus être harcelé par ses camarades ? Face à un enseignant harceleur qui a toujours raison et une administration scolaire qui ne prend pas toujours en considération les plaintes des élèves, comment faire ?

Munis des pancartes, banderoles, sifflets et scandant des slogans, les usagers mécontents ont investi hier matin le site sous la supervision de l'Organisation gabonaise des consommateurs (OGC) . Pour exiger une meilleure prestation de l'entreprise, en situation de monopole, ils entendent y camper 72 heures durant.

Après l'avant-première du 5 mars dernier à l'Institut français (IF), la projection grand public du dernier film de Fernand Lepoko a commencé hier soir à Libreville. Le spectateur est pris dans les méandres d'un drame fantastique convoquant le mystérieux...

Deux établissements secondaires, le lycée Alexandre-Samba et le collège catholique Essia, ont été les premiers à renouer avec la caravane de l'Union des écrivains gabonais.

Jeudi 26 avril dernier, au lendemain de la commémoration de la journée mondiale du livre et du droit d'auteur, et à sa sortie du Parlement où il a défendu un projet de loi portant statut de l'artiste en République gabonaise, le ministre d’État chargé de la Culture et des Arts de l'ancien gouvernement, Alain-Claude Bilie-By-Nze nous a accordé une interview. Y sont abordées, diverses questions concernant son département. Certaines annonces devront réjouir, à coup sûr, les artistes en général, et les écrivains et éditeurs en particulier.

C'est la formule choisie par la Direction de la lutte contre la pauvreté pour rendre un hommage mérité à celle qui porte la vie en son sein. Durant deux semaines l'art local sera exposé sur la parking de l'hypermarché Mbolo à Libreville.

La prochaine rentrée universitaire connaîtra de nombreuses réformes, dont l'instauration des droits universitaires.

Les étudiants de l'UOB se sont mobilisés une unième fois, hier matin, à l'entrée du campus, pour exprimer leur mécontentement.

L'année scolaire 2017-2018 qui s'ouvre ce lundi matin n'enregistrera pas trop d'avancées en ce qui concerne la construction de salles de classes. Tout le monde peut, d'ailleurs, s'en apercevoir.

En prélude à la célébration de la fête des défunts ou fête des morts ce jeudi 2 novembre, les Gabonais ont, comme à l'accoutumée, profité de la journée de la Toussaint hier, 1er novembre, pour offrir un culte à leurs défunts dans les différents cimetières du pays.

Entre projections scolaires et grand public dans la soirée, c'est une affluence particulière - plus de 2500 entrées ! - qu'a connue l'événement cette année. Le ministre d'Etat en charge de la Communication, Alain-Claude Bilie-By-Nze, en a présidé la cérémonie de clôture.

Mais l'engouement n'est pas encore au rendez-vous chez les consommateurs, qui tardent à investir les rayons des surfaces commerciales déjà approvisionnées aux goûts des enfants.