Il était jusqu'à son départ membre du Bureau national, conseiller du président et conseiller national.

Le président de la République, Ali Bongo Ondimba, a pris part hier, aux côtés de plusieurs autres chefs d'Etat, à l'investiture de son homologue turc, Recep Tayyip Erdogan, lequel a été réélu, le 24 juin dernier, pour un mandat de cinq ans.

Le président de la Confédération patronale gabonaise (CPG), Alain Bâ Oumar, est allé remettre, hier, un rapport y relatif au Premier ministre, Julien Nkoghe Bekale. En présence de plusieurs membres de la CPG.

Le président de l'Alliance pour le changement et le renouveau (ACR), Bruno Ben Moubamba, a appelé la jeunesse étudiante gabonaise à s'ériger contre les mesures d'austérité "impopulaires" du gouvernement de la République. Il a demandé une résistance pacifique en proposant aux étudiants de soutenir le mouvement de la centrale syndicale "Dynamique unitaire" qui devrait avoir lieu ce jeudi à Libreville. C'était au cours de la déclaration qu'il a faite, hier, au siège de l'ACR, autour de quelques étudiants de l'Université Omar-Bongo (UOB).

L'épidémie à coronavirus perturbe gravement le cours normal de la vie. Au Gabon, pour limiter la propagation du virus, le gouvernement a, pour ainsi dire, pris des mesures drastiques dont la suspension des vols et autres transports. Une mesure préjudiciable à de nombreux expatriés. Aussi le gouvernement, via son ministre des Affaires étrangères, Alain-Claude Bilie-By-Nze, a-t-il décidé de revoir sa copie en autorisant certains vols.

Les candidats et têtes de listes investis par le Parti démocratique gabonais (PDG) aux élections législatives et locales dans le département du Haut-Como (Woleu-Ntem) se sont déclarés, mercredi dernier, au siège du PDG sis à Louis, dans le 1er arrondissement de la capitale gabonaise, "prêts et résolus" à maintenir, avec le soutien des militants et sympathisants, l'hégémonie de leur formation dans leurs circonscriptions politiques respectives.

Crainte et peur des lendemains incertains : tel est l'état d'esprit de milliards de personnes à travers la planète confrontées à l'épidemie du coronavirus, cet ennemi invisible qui décime les économies et les peuples. À ce jour, au Gabon, du moins au moment de notre bouclage, on dénombre trois décès liés au Covid-19. C'est pourquoi, la classe politique ne saurait être insensible à ce fléau. En atteste la sortie de l'Union nationale (UN) de Zacharie Myboto, en début de semaine.

Depuis mardi dernier à 0 heure, la campagne a officiellement démarré. Les différents candidats aux élections législatives et locales se sont lancés à la conquête des voix pouvant leur garantir la victoire des urnes.

C'est l'un des enseignements issus de la conférence de presse qu'a animée, hier, le chef de la diplomatie gabonaise, Alain Claude Bilie-By-Nze.

Désormais, on pourrait éprouver des difficultés à dissocier leurs activités politiques et syndicales.

Malgré la baisse de régime imposée par le nouveau coronavirus, l'Assemblée nationale a pu effectuer tant bien que mal son travail à savoir l'examen et l'adoption de projets et propositions de lois, durant la session parlementaire qui s'est achevée hier conformément à l'article 43 de la Constitution.

Le ministre des Affaires étrangères, Régis Immongault Tatangani, qui a représenté le chef de l'Etat, Ali Bongo Ondimba, au sommet extraordinaire des chefs d'Etat et de gouvernement, à Addis-Abeba en Éthiopie, a également pris part à la cérémonie de lancement du Fonds de la Paix.