LA première session ordinaire du Conseil national de la démocratie (CND) s'est achevée hier

Le Rassemblement Héritage et Modernité (RHM) a changé de dénomination depuis dimanche dernier. Il s'est mué en ''Rassemblement pour la Patrie et la Modernité'' (RPM).

Alors que l'on peut pérorer, à raison, sur les motivations de son geste, le maire central de Libreville démissionnaire confirme-t-il l'écheveau difficile à démêler qu'est devenue la capitale gabonaise

Le président de la République du Togo, Faure Gnassingbe, est attendu à Libreville, aujourd'hui, dans le cadre d'une visite de travail et d'amitié dans notre pays où il rencontrera le chef de l’État gabonais, Ali Bongo Ondimba. Il s'agit de la première visite d'un chef d’État étranger, depuis le retour, au pays, du président de la République gabonaise.

PRÉSIDÉ vendredi dernier, au palais du Bord de mer, par le chef de l'État, Ali Bongo Ondimba, le Conseil supérieur de la magistrature (CSM) devrait faire date

Omar Bongo Ondimba était un chantre de l'unité nationale. Tout au long des quarante-deux ans de son magistère, il ne s'est jamais départi, en effet, de la nécessité de rassembler les Gabonais en les exhortant à transcender leurs origines ethniques, claniques et provinciales tout en privilégiant l'intérêt supérieur de la nation.

L'Hôtel de Ville de Libreville a abrité, hier, une session du Conseil ordinaire des Ordres nationaux. Celle-ci était présidée par le Grand chancelier, l'amiral Hervé Nambo Ndouany.

Alors que l'appareil judiciaire est bloqué depuis trois mois, suite à la grève des greffiers, que fait ce pan de l'Exécutif pour sortir d'une situation aux multiples conséquences pour le pays ? Au moment où les grévistes attendent toujours des réponses.

Alexandre Awassi, député du 2e arrondissement de la commune de Moanda, dans le département de Lébombi-Léyou (Haut-Ogooué), était récemment dans sa circonscription électorale. Une intense activité politique dans la ville minière orientée sur le travail abattu par l’Assemblée nationale durant la première session ordinaire du Parlement, dite "des Lois".

"Les conditions ne sont pas réunies aujourd'hui pour une élection régulière, libre, transparente et crédible." Tel est le sentiment de l'opposant Luc Bengone Nsi, ancien leader du Mouvement de redressement national (Morena), exprimé dernièrement, lors d'une interview accordée au site "Pyramidmediagabon.com".