La deuxième phase de l'opération de recensement biométrique des agents publics est effective depuis le début de la semaine en cours.

Les élèves des classes de Terminales A1 et A2 du lycée Mohamed-Arissani de Montalier, dans le 6e arrondissement de Libreville, ont profité de l'occasion d'une rencontre initiée par le département de français dudit lycée vendredi dernier, pour être mieux instruits sur une œuvre littéraire inscrite au programme cette année. Une circonstance unique, où ces candidats au baccalauréat ont pu avoir un échange interactif avec l'auteur de l'ouvrage.

Au Gabon, les funérailles ont toujours donné lieu à des manifestations multiformes. Lors des veillées mortuaires, le recueillement le dispute souvent à l'animation religieuse faite de chants de louange pour accompagner le défunt.

La célébration de la Journée mondiale du donneur de sang a été l'occasion pour le ministre de la Santé, Max Limoukou, dans une allocution prononcée samedi passé, de rappeler que le Centre national de transfusion sanguine (CNTS) a grandement besoin de donneurs volontaires.

Selon un rapport de l'Unesco, toutes les deux semaines, une langue disparaît, emportant avec elle tout un patrimoine culturel et intellectuel. La diversité linguistique est de plus en plus menacée à mesure que disparaissent les formes d'expression communautaires.

C'est sous les lambris dorés de la salle des fêtes de l'hôtel Radisson Blu de Libreville que les membres de l'équipe du tout nouveau magazine gabonais "La Cithare" ont choisi de procéder au lancement des activités rédactionnelles et marketing de leur journal.

Selon les données disponibles hier, le continent africain compte, depuis le début de la crise sanitaire, 393 232 cas confirmés. Pour 196 427 cas actifs, 186 925 guérisons et 9 880 décès enregistrés. Derrière ces chiffres, nous nous sommes aperçus qu'il y a un élément qui transparaît et auquel on prête peu attention : 21 pays et territoires africains comptent plus de personnes guéries que de cas actifs. Cela, au soir du 30 juin 2020.

Le conseil d'administration de l'Hôpital d'Instruction des Armées-Omar-Bongo-Ondimba (HIAOBO), présidé par le ministre d'Etat en charge de la Défense nationale et de la Sécurité du territoire, Rose Christiane Ossouka Raponda, s'est réuni hier, jeudi 14 mars 2019, aux fins d'apprécier le rapport d'activités de l'exercice 2018 et la vision stratégique de cet établissement sanitaire de référence.

C'est une question qui revient depuis cette fin d'année académique. D'aucuns se demandent déjà si les critères d'assiduité et de performance sont de retour ou s'il faudra continuer avec le système actuel : ''Bac = bourse'' victime, semble-t-il, de son succès.

Un énorme défi pour des candidats à l'entrée du supérieur privés d'enseignements en présentiel depuis quatre mois et qui ne sont pas certains de la présence de la totalité de leurs enseignants. Ils devront également composer avec un contexte de crise sanitaire qui impose notamment de strictes règles d'hygiène et de distanciation physique.

L'édile de la commune d’Owendo, Jeanne Mbagou, a procédé hier, dans l'enceinte de son institution, au lancement de l’opération d’immatriculation des taxis pour l’année 2019. Elle a pour cela effectué le geste symbolique, en collant la vignette sur la portière du taxi numéro 001. A sa suite, ses collaborateurs se sont pliés au même exercice.

Malgré l'interdiction par le ministère de l'Intérieur, le lundi dernier, de la ''grande marche noire" qu'ils projetaient d'organiser, hier, à Libreville, en protestation aux mesures d'austérité du gouvernement, les leaders et membres des syndicats sous la bannière de la confédération Dynamique unitaire se sont rassemblés hier matin, comme prévu, au rond-point de la Démocratie. Au motif que, selon les dispositions de la loi N°1/2017, dans son article 3, les marches publiques sont autorisées en République gabonaise, sauf si l'autorité estime qu'il y a ''trouble à l'ordre public''.